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Lumière sur … Les colonies de vacances à Claouey

LES ARCHIVES MUNICIPALES DE LÈGE-CAP FERRET ONT POUR VOCATION DE CONSERVER LES ARCHIVES PUBLIQUES, MAIS AUSSI DES DOCUMENTS PRIVÉS, UNIQUES ET PARFOIS PERSONNELS. TOUS LES MOIS, DÉCOUVREZ UN DOCUMENT INÉDIT SUR VOTRE COMMUNE ! PAR SON INTÉRÊT HISTORIQUE, SON ASPECT ESTHÉTIQUE, OU SON ORIGINALITÉ, CE DOCUMENT TÉMOIGNE DE LA MÉMOIRE LOCALE.

Nées en Suisse à la fin du XIXe siècle, les colonies de vacances permettent à tous les enfants, pour la plupart issus de familles défavorisées, de connaître les joies de la mer ou de la montagne. Sur le Bassin d’Arcachon, on vient chercher le soleil, l’air pur, les activités physiques sur la plage ou en forêt. Encadrés par des prêtres ou des laïques, les jeunes apprennent pendant quelques semaines l’école de la vie.

Sur la Presqu’île, deux villages ont les faveurs des associations ou des communes. Claouey et le Cap Ferret ont été les premiers villages à ouvrir leurs portes aux colonies à partir des années 30.

Pour ce premier numéro consacré aux colonies de vacances, tous à Claouey !

La colonie des Pastourelles de Pontenx-les-Forges (1937-1940)

Le 3 juillet 1937, la directrice de l’aérium pour enfants « Les Pastourelles » de Pontenx-les-Forges, dans les Landes, sollicite l’autorisation d’installer un camp de vacances sur la dune de Jane de Boy. Le Conseil municipal, en principe, refuse cette autorisation, mais décide de rencontrer l’intéressée afin de fixer un autre emplacement aux abords immédiats de ladite dune.

Une dizaine de jours plus tard, la directrice de l’aérium renouvelle sa demande. Le campement projeté ne compterait que cinq tentes pouvant accueillir 75 enfants. La municipalité accorde finalement cette autorisation sous certaines réserves.

A l’automne 1937, le camp de la dune de Jane de Boy semble avoir donné toute satisfaction. La directrice est autorisée à le maintenir pour les vacances de Noël et de Pâques.

L’association « Les Pastourelles » est officiellement créée le 15 avril 1938. Installée à Saint-Vincent-de-Paul, dans les Landes, son but est « d’exploiter un aérium pour enfants et créer un camp de colonies de vacances. »

En revanche, sa demande de juin 1938 est rejetée. Son intention d’exploiter un chalet en bois, destiné à être loué au prix journalier de 25 ou 30 francs, assimilable à un commerce d’hôtellerie, est incompatible avec le but social initialement présenté (celui de faire profiter du grand air à des enfants chétifs).

Un an plus tard, des déprédations imputées aux enfants jettent le discrédit sur la colonie des Pastourelles. Le Conseil municipal décide d’en prévenir la directrice et les surveillantes, afin de réprimer ces actes une fois pour toute et d’exercer une surveillance plus assidue sur leurs pensionnaires. Dans le cas contraire, le campement sera évacué des lieux qu’il occupe. Mlle Lebrun, directrice de la colonie, proteste contre les manquements de discipline qu’ils lui sont reprochés.

La Seconde Guerre mondiale survient alors. Le terrain de la dune de Jane de Boy ne peut plus être mis à disposition de la colonie des Pastourelles. Il est destiné à recevoir d’éventuels réfugiés qui seraient officiellement affectés à la commune.

L’histoire de la colonie de vacances « Les Pastourelles » s’arrête à l’année 1940 pour Claouey.

Son siège est transféré à Capbreton. C’est dans cette ville qu’éclate un scandale en août 1950. Plus d’une quinzaine d’enfants (sur les 180 hébergés) sont hospitalisés, et trois d’entre eux décèdent de méningite otitique ou de neurotoxicose. Mlle Robineau, la secrétaire générale, affirme que les services de placement de la Sécurité Sociale leur a confié des bébés de deux à trois ans alors que son établissement n’était habilité à ne recevoir que des enfants âgés de trois à quatorze ans. Expertises et contre-expertises s’affrontent pour déterminer les causes exactes de la mort des enfants et leur état physique afin d’engager une éventuelle responsabilité de la part de l’aérium ou de la Sécurité sociale. En réaction, un groupe de parents force les portes de l’établissement pour reprendre leurs enfants. A la suite des incidents, « Les Pastourelles » sont fermées par décision préfectorale. Une enquête pour homicide involontaire est ouverte. Les directrices ont également à répondre d’accusations de mauvais traitements sur enfants. En juin 1952, un non-lieu est prononcé à l’encontre de Mlle Lebrun pour les faits de mauvais traitements et de manque de soins ayant entraîné une aggravation de l’état de santé des enfants. En février 1953, les journaux Franc-Tireur et Revivre sont condamnés pour diffamation envers Mlle Lebrun. Ils doivent verser 20 000 francs d’amende et 80 000 francs de dommages et intérêts.

« Les Pastourelles » existent toujours à Capbreton. C’est désormais une résidence de vacances, accueillant aussi bien des familles que des groupes.

La colonie de l’Arbousier de l’association d’Issy-Plaine (1956-1974)

En avril 1956, l’association populaire d’entraide familiale d’Issy-Plaine cherche à obtenir une location d’un terrain communal au lieu-dit Le Capéran pour l’installation d’une colonie de vacances. La terre n’étant pas cultivable sur l’emplacement demandé, d’une superficie d’un hectare, le bail est consenti pour une durée minimum de 18 ans et pour la somme annuelle de 10 000 francs. Pour lutter contre les risques d’incendie, l’association est tenue de nettoyer à sable blanc une bande de terrain de 15 mètres de largeur autour de la surface louée.

Le camp de vacances de l’Arbousier est tenu par le père François du Plessis (1921-2013) pour les jeunes de la région parisienne d’Issy-Plaine, commune d’Issy-les-Moulineaux. Fils du commandant du dirigeable « Dixmude », qui périt en Méditerranée en 1923, faisant 50 victimes, François du Plessis est ordonné prêtre en 1943. Il prend en charge, en 1956, la communauté chrétienne à Notre-Dame des Pauvres à Issy-les-Moulineaux et participe à la création du centre de vacances L’Arbousier, à Jane de Boy, sur le Bassin d’Arcachon. De 1986 à 1991, il est chargé par l’Association des amis de la fondation Wallerstein de la restauration de l’aérium d’Arès, pour y réaliser un projet social de vie communautaire.

En novembre 1959, une demande d’extension du camp de l’Arbousier est refusée. La municipalité lui demande de fournir sa police d’assurance pour couvrir le risque d’incendie de forêt. L’association est bien couverte par une compagnie d’assurance à hauteur de 200 000 nouveaux francs.

En juin 1960, la municipalité rappelle à l’association ses obligations de travaux de mise à sable blanc autour du camp pour une protection efficace contre l’incendie. Il lui est aussi demandé de veiller à une surveillance plus sévère des colons de la part des moniteurs.

En décembre 1972, en raison des aménagements projetés dans le secteur de Capéran, le Conseil municipal décide de ne pas renouveler le bail de l’association lorsqu’il arrivera à son terme le 1er avril 1974.

Le camp de vacances de l’Arbousier (Collection François Bisch)

Retrouvez la collection de cartes postales de François Bisch sur son site Internet « Ferret d’avant » : https://www.ferretdavant.com/index.php

La colonie de la Société d’éducation populaire Echo de la Cère (1957-1962)

En octobre 1957, c’est au tour de la Société d’éducation populaire Echo de la Cère de choisir le village de Claouey comme lieu de villégiature pour les enfants de Laval-de-Cère (Lot). Cette association est représentée par l’abbé Gaston Souiry (1921-2013). Sous le pseudonyme Bernard, il fit partie des membres des Forces Françaises de l’Intérieur (FFI). C’est grâce à son initiative que le village de Laval-de-Cère eut une église digne de ce nom en 1945.

La Société obtient la location d’un terrain communal de 3 000 mètres carrés situé près de la Dune des Oies. Le bail, d’une durée de 18 ans et pour un loyer annuel de 10 000 francs, inclut une clause spéciale dans le cas où le terrain loué serait compris dans un futur lotissement communal.

Le 31 décembre 1960, l’association demande la résiliation du bail et ne paie plus le loyer. En conséquence, en mars 1962, le Conseil municipal vote l’annulation du bail consenti à l’Association populaire de Laval de Cère.

La colonie de Charenton-le-Pont (1972-1976)

Entre 1956 et le début des années 2000, les enfants de Charenton-le-Pont (Val-de-Marne) ont la possibilité de partir en colonie de vacances à Arès (Colonie des Pins). Le terrain est acheté par la commune en 1953, et la première colonie est effectivement ouverte en 1956.

Les jeunes de 14 à 15 ans rayonnent en itinérance autour du Bassin d’Arcachon. Plusieurs sites sont investis notamment pour le camping (randonnée et initiation aux activités nautiques) et les activités nautiques (voile, canoë, kayak) :

  • Arès (terrain acheté en 1953)
  • Claouey (location d’un emplacement au camping municipal)
  • Petit-Nice (camping)
  • Lacs des Landes : Soustons, Biscarosse, Léon, Sanguinet (camping, nautisme)
  • La Hume (camping)
  • Port Maguide (camping)
  • Vieux Boucau d’Huchet (nautisme)
  • Plage de Saint-Brice (baignade)

A partir de l’été 1972, le Conseil municipal de Lège décide de mettre à la disposition de la colonie de Charenton-le-Pont un emplacement au camping municipal pendant les mois de juillet et août 1972. Une quinzaine d’enfants logent dans des tentes, moyennant le prix forfaitaire de 500 francs.

Le camp est reconduit chaque année, toujours pour les mois de juillet et d’août. Le prix du loyer augmente de 100 francs à chaque été (600 francs en 1973, 700 francs en 1974, 800 francs en 1975).

La saison 1973 connaît son habituel succès à la colonie d’Arès :

« Suivant une formule nouvelle, nos enfants de 6 à 14 ans ont été répartis en groupes d’une trentaine, garçons et filles sensiblement du même âge, pour fournir une « unité de vie ».
Les activités proposées étant différentes d’un groupe à l’autre, les enfants ont eu ainsi la liberté de choisir selon leurs préférences.
Le beau temps ne fut malheureusement pas toujours de la partie, mais les activités manuelles (émaux, pyrogravure, vitraux) ont fait diversion.
Le camping municipal de Claouey a été particulièrement apprécié par les 12/14 ans qui, pendant trois jours, sous le contrôle de leurs moniteurs, ont géré eux-mêmes le budget qui leur était alloué et décidé l’achat des denrées et la confection des repas. Pendant ce temps, les 8/9 ans, plus modestement, campaient aussi… à 50 mètres de leurs dortoirs, et le petit déjeuner, pris au réfectoire, leur semblait, paraît-il, bien meilleur que les autres jours.
Les « petits » de 6 à 7 ans ont un rythme de vie à part, plus à leur portée ; le repos est en effet l’un des facteurs essentiels de la réussite de leur séjour. La découverte du milieu, l’expression corporelle et les jeux de plage (constructions) forment l’essentiel de leurs activités. »

La colonie de Charenton-le-Pont à Arès en 1975 (Archives municipales de Charenton-le-Pont)

Flyer de la colonie de Charenton-le-Pont pour ses séjours sur le Bassin d’Arcachon en 1972 (Archives municipales de Charenton-le-Pont)

Les autres colonies

En mars 1947, le Conseil municipal de Lège examine la demande présentée par la Société S.C.A.T.S. de St Etienne (Société coopérative d’alimentation des travailleurs stéphanois). Elle souhaite acheter ou louer un terrain communal d’une superficie de 10 000 mètres carrés à Jeanne de Boy afin d’y installer une colonie de vacances d’enfants. La municipalité accepte de lui louer ce terrain au prix de 12 000 francs par an, renouvelable par tacite reconduction. L’année suivante, la société renouvelle sa demande de terrain. Elément étonnant : la révision du prix du loyer se fera sur la base du prix du blé !

En janvier 1948, l’administration des Ponts et Chaussées et du Port autonome de Bordeaux demande une location de terrain pour monter des baraquements destinés à une colonie de vacances.

En février 1951, c’est un certain Monsieur Sanguinet qui désire établir un camp de colonie de vacances. En raison de l’interdiction par arrêté préfectoral de camper à moins de 200 mètres de la forêt, les édiles de Lège ne peuvent lui proposer que le terre-plein de Jane de Boy en bordure de la route de Lège à Claouey où se trouvait le camp des prisonniers de guerre.

A l’été 1964, Monsieur Tizon, directeur d’une école municipale de perfectionnement pour infirmes moteurs, est intéressé par un terrain en bordure du Bassin pour une colonie de vacances accueillant des enfants infirmes. Le seul terrain convenable dépendant de La Pignada, M. Lagueyte est chargé de se mettre en rapport avec le directeur de cet établissement.

En octobre 1969, le Conseil municipal de Lège se prononce contre la vente d’un terrain à Lège d’environ 2 hectares à la Société Les Bois de l’Est, pour y créer une colonie de vacances.

La suite au prochain numéro…. (les colonies de vacances au Cap Ferret)

A lire également : le drame des scouts rennaises à Claouey en 1947 (livret « Les Archives du mois 2021 »)

Remerciements

Nous tenons à remercier pour leur aide et les documents transmis :

  • Madame Elsa-Frédérique DEHIER, responsable des archives de Charenton-le-Pont
  • Madame Dominique DUVIGNAC pour la colonie de Pontenx-les-Forges
  • Madame Christine COUDERC, secrétaire à la mairie de Laval-de-Cère

Votre histoire, notre mémoire

“Les souvenirs d’un homme constituent sa propre bibliothèque.”
Aldous Huxley, écrivain anglais (1894-1963)

Contribuez à enrichir cet article ! Si vous avez des photographies ou des documents sur les colonies de vacances de Claouey, n’hésitez pas à nous rendre visite ou à nous contacter ! Vos souvenirs nous permettront de mieux faire connaître l’histoire de notre commune.

Service des archives
79 avenue de la Mairie, Lège bourg
archives.ad@legecapferret.fr
05.57.17.07.80

Sources et références

Les Archives municipales de Lège-Cap Ferret :

  • Délibérations du Conseil Municipal de Lège

Les Archives municipales de Charenton-le-Pont :

  • Bulletin municipal n°21, dernier trimestre 1973
  • Convention entre les communes de Lège et Charenton-le-Pont du 20 février 1975
  • Bulletin municipal, septembre-octobre 1975
  • Photographies de 1975
  • Bulletin municipal n°6, septembre/octobre 1976
  • Affiches et flyers des années 1971, 1972, 1973 et 1975

RetroNews, le site de presse ancienne de la BnF :

  • Combat, 15 août 1950
  • Combat, 17 août 1950
  • L’Aurore, 18 août 1950
  • L’Aube, 19 août 1950
  • L’Aurore, 22 septembre 1950
  • L’Aurore, 27 octobre 1950
  • La Croix, 28 juin 1952
  • La Croix, 1er février 1953

Gallica, la bibliothèque numérique de la BnF : 

  • Journal Officiel de la République Française du 28 avril 1938

Site Ferret d’avant : https://www.ferretdavant.com/index.php

Site Internet de la résidence de vacances « Les Pastourelles » à Capbreton : https://capbreton-lespastourelles.fr/

 

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