Fiche pratique

Surveillance médicale d'un agent de la fonction publique

Vérifié le 21/05/2019 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

Lors de son recrutement, l'agent passe un examen médical, auprès d'un médecin généraliste agréé, afin de vérifier son aptitude générale à exercer un emploi public. Au cours de sa carrière, il passe régulièrement des examens médicaux d'aptitude, auprès du médecin du travail, pour vérifier la compatibilité de son état de santé avec son poste d’affectation. S'il a été exposé à un agent cancérogène, mutagène ou toxique pour la reproduction, il bénéfice d'un suivi médical post-professionnel.

À son entrée dans la fonction publique d’État, l'agent (fonctionnaire ou contractuel) doit passer un examen médical, auprès d'un médecin généraliste agréé par l'administration. Cet examen est destiné à vérifier son aptitude générale à exercer un emploi public.

Le médecin vérifie que le futur agent public n'est atteint d'aucune maladie ou infirmité. S'il constate des maladies ou infirmités, le médecin vérifie qu'elles sont compatibles avec l'exercice des fonctions postulées. Ces maladies ou infirmités sont alors indiquées au dossier médical de l'agent. Le médecin généraliste peut ordonner un examen complémentaire auprès d'un médecin spécialiste agréé.

Au vu du certificat établi par le médecin généraliste, l’administration peut aussi elle-même ordonner un examen complémentaire auprès d'un médecin spécialiste agréé.

Les frais de ces examens sont à la charge de l'administration.

Lors de chaque prise de poste, l'agent doit passer un examen médical d'aptitude, auprès du médecin de prévention (<span class="expression">médecin du travail</span>). Cet examen est destiné à vérifier la compatibilité de l'état de santé de l'agent avec les conditions de travail liées au poste auquel il est affecté. Si l'état de santé de l'agent le justifie, le médecin du travail peut recommander des examens complémentaires.

En outre, l'agent est tenu de se soumettre à un examen médical par le médecin de prévention tous les 5 ans. S'il le demande au médecin de prévention, il peut bénéficier d'un examen médical tous les ans.

Ces visites médicales ont lieu sur le temps de travail. Des autorisations d'absences sont données par l'administration pour permettre à l'agent de s'y rendre.

Une surveillance médicale particulière est mise en place à l'égard des agents suivants :

  • Agents handicapés,
  • Femmes enceintes
  • Agents réintégrés après un congé de longue maladie ou de longue durée
  • Agents occupant des postes exposés à des risques particuliers pour leur santé ou leur sécurité
  • Agents souffrant de pathologies particulières.

Pour ces agents, le médecin du travail définit la fréquence et la nature des visites médicales que comporte cette surveillance médicale particulière et qui doit être au moins annuelle. Les agents concernés sont tenus de se soumettre à ces visites.

Lorsque l'état de santé d'un agent, quel qu'il soit, le justifie, le médecin de prévention peut proposer des aménagements de poste de travail ou de conditions d'exercice des fonctions.

Il peut également proposer des aménagements temporaires de poste de travail ou de conditions d'exercice des fonctions notamment au bénéfice des femmes enceintes.

Lorsque ces propositions ne sont pas suivies par l'administration, celle-ci doit motiver son refus et le <a href="https://www.ville-lege-capferret.fr/demarches-et-infos-pratiques/vos-demarches-en-ligne/formalites-actes/droits-demarches-particuliers/?xml=R24405">CHSCT</a> doit en être informé.

L'agent, qui quitte définitivement la fonction publique, peut avoir droit à un suivi médical post-professionnel. C'est le cas s'il a été exposé, dans le cadre de ses fonctions, à un agent cancérogène, mutagène (c'est-à-dire susceptible de provoquer l'apparition de mutations génétiques) ou toxique pour la reproduction. Cela vaut en cas de démission, de départ en retraite, etc.

Ce suivi médical est pris en charge :

  • par la dernière administration au sein duquel l'agent a été exposé,
  • ou, si cette administration ne peut pas être identifiée, par l'administration dont il relève au moment de la cessation définitive de ses fonctions.

L‘agent est informé de son droit par l'administration au moment où il cesse définitivement ses fonctions. L’administration lui délivre à cet effet une attestation d'exposition à un risque cancérogène, mutagène et toxique pour la reproduction établie, après avis du médecin de prévention.

Le suivi post-professionnel peut être assuré, au choix de l'agent, par :

  • le service de médecine de prévention de l'administration,
  • tout médecin choisi librement,
  • les centres médicaux avec lesquels l'administration a passé une convention.

À son entrée dans la fonction publique territoriale, l'agent (fonctionnaire ou contractuel) doit passer un examen médical, auprès d'un médecin généraliste agréé par l'administration. Cet examen est destiné à vérifier son aptitude générale à exercer un emploi public.

Le médecin vérifie que le futur agent public n'est atteint d'aucune maladie ou infirmité. S'il constate des maladies ou infirmités, le médecin vérifie qu'elles sont compatibles avec l'exercice des fonctions postulées. Ces maladies ou infirmités sont alors indiquées au dossier médical de l'agent. Le médecin peut ordonner un examen complémentaire auprès d'un médecin spécialiste agréé.

Au vu du certificat établi par le médecin généraliste, l'administration peut aussi elle-même ordonner un examen complémentaire auprès d'un médecin spécialiste agréé.

Les frais de ces examens sont à la charge de l'administration.

Lors de chaque prise de poste, l'agent doit passer un examen médical d'aptitude, auprès du médecin de prévention (<span class="expression">médecin du travail</span>). Cet examen est destiné à vérifier la compatibilité de l'état de santé de l'agent avec les conditions de travail liées au poste auquel il est affecté. Si l'état de santé de l'agent le justifie, le médecin de prévention peut recommander des examens complémentaires.

En outre, l'agent est tenu de se soumettre à un examen médical par le médecin de prévention tous les 2 ans. S'il le demande au médecin de prévention, il peut bénéficier d'un examen médical tous les ans.

Ces visites médicales ont lieu sur le temps de travail. Des autorisations d'absences sont données par l'administration pour permettre à l'agent de s'y rendre.

Une surveillance médicale particulière est mise en place à l'égard des agents suivants :

  • Agents handicapés
  • Femmes enceintes
  • Agents réintégrés après un congé de longue maladie ou de longue durée
  • Agents occupant des postes exposés à des risques particuliers pour leur santé ou leur sécurité
  • Agents souffrant de pathologies particulières.

Pour ces agents, le médecin de prévention définit la fréquence et la nature des visites médicales que comporte cette surveillance médicale particulière et qui doit être au moins annuelle. Les agents concernés sont tenus de se soumettre à ces visites.

Lorsque l'état de santé d'un agent, quel qu'il soit, le justifie, le médecin de prévention peut proposer des aménagements de poste de travail ou de conditions d'exercice des fonctions.

Il peut également proposer des aménagements temporaires de poste de travail ou de conditions d'exercice des fonctions notamment au bénéfice des femmes enceintes.

Lorsque ces propositions ne sont pas suivies par l'administration, celle-ci doit motiver son refus et le <a href="https://www.ville-lege-capferret.fr/demarches-et-infos-pratiques/vos-demarches-en-ligne/formalites-actes/droits-demarches-particuliers/?xml=R24405">CHSCT</a>, ou à défaut le comité technique (CT), doit en être informé.

L'agent, qui quitte définitivement la fonction publique, peut avoir droit à un suivi médical post-professionnel. C'est le cas s'il a été exposé, dans le cadre de ses fonctions, à un agent cancérogène, mutagène (c'est-à-dire susceptible de provoquer l'apparition de mutations génétiques) ou toxique pour la reproduction. Cela vaut en cas de démission, de départ en retraite, etc.

Ce suivi médical est pris en charge par la dernière collectivité territoriale au sein de laquelle l'agent a été exposé.

L‘agent est informé de son droit par sa collectivité au moment où il cesse définitivement ses fonctions. L'administration lui délivre à cet effet une attestation d'exposition à un risque cancérogène, mutagène et toxique pour la reproduction établie, après avis du médecin du travail.

Le suivi post-professionnel peut être assuré, au choix de l'agent, par :

  • le service de médecine de prévention de la collectivité,
  • tout médecin choisi librement,
  • les centres médicaux avec lesquels la collectivité a passé une convention.

À son entrée dans la fonction publique hospitalière, l'agent (fonctionnaire ou contractuel) doit passer un examen médical, auprès d'un médecin généraliste agréé par l'administration, destiné à vérifier son aptitude générale à exercer un emploi public.

Le médecin vérifie que le futur agent public n'est atteint d'aucune maladie ou infirmité. S'il constate des maladies ou infirmités, le médecin vérifie qu'elles sont compatibles avec l'exercice des fonctions postulées. Ces maladies ou infirmités sont alors indiquées au dossier médical de l'agent. Le médecin peut ordonner un examen complémentaire auprès d'un médecin spécialiste agréé.

Lorsque certaines fonctions sont soumises à conditions d'aptitude physique spéciales, le statut particulier du corps concerné fixe les conditions de la vérification de ces conditions. Cela peut notamment comporter un examen médico-psycho-technique d'aptitude.

Les frais de ces examens sont à la charge de l'administration.

Lorsque le recrutement s'effectue par la voie d'une école ou d'un établissement d'enseignement spécialisé, l'examen médical d'embauche a lieu lors de l'admission dans l'établissement.

Lors de chaque prise de poste, l'agent doit également passer un examen médical, auprès du médecin du travail. Cet examen est destiné à vérifier la compatibilité de l'état de santé de l'agent avec les conditions de travail liées au poste auquel il est affecté. Le médecin du travail peut prescrire les examens complémentaires nécessaires :

  • à la détermination de l'aptitude de l'agent au poste de travail et notamment au dépistage des affections comportant une contre-indication,
  • au dépistage d'une maladie professionnelle susceptible de résulter de l'activité professionnelle de l'agent,
  • au dépistage des affections susceptibles d'exposer l'entourage de l'agent à des risques de contagion.

Le médecin du travail procède ou fait procéder aux vaccinations obligatoires. L'agent peut les faire pratiquer par le médecin de son choix. Il doit alors fournir un certificat détaillé. En cas de risques particuliers de contagion, le médecin du travail peut pratiquer les vaccinations recommandées.

L'agent bénéficie d'un examen médical par le médecin du travail tous les 2 ans. Si le médecin du travail le juge utile, des examens médicaux, ou des entretiens infirmiers, peuvent être réalisés plus fréquemment.

Ces visites médicales ont lieu sur le temps de travail. Des autorisations d'absences sont données par l'administration pour permettre à l'agent de s'y rendre.

Une surveillance médicale renforcée est mise en place à l'égard des agents suivants :

  • Agents handicapés
  • Femmes enceintes
  • Agents travaillant de nuit
  • Agents réintégrés après un congé de longue maladie ou de longue durée
  • Agents occupant des postes exposés à des risques particuliers pour leur santé ou leur sécurité
  • Agents souffrant de pathologies particulières.

Pour ces agents, le médecin du travail définit la fréquence et la nature des visites médicales que comporte cette surveillance médicale renforcée.

Lorsque l'état de santé d'un agent, quel qu'il soit, le justifie, le médecin du travail peut proposer des aménagements de poste de travail ou de conditions d'exercice des fonctions.

Il peut également proposer des aménagements temporaires de poste de travail ou de conditions d'exercice des fonctions notamment au bénéfice des femmes enceintes.

Lorsque ces propositions ne sont pas acceptées par l'administration, celle-ci doit motiver son refus et le <a href="https://www.ville-lege-capferret.fr/demarches-et-infos-pratiques/vos-demarches-en-ligne/formalites-actes/droits-demarches-particuliers/?xml=R24405">CHSCT</a> doit en être informé.

L'agent, qui quitte définitivement la fonction publique, peut avoir droit à un suivi médical post-professionnel. C'est le cas s'il a été exposé, dans le cadre de ses fonctions, à un agent cancérogène, mutagène (c'est-à-dire susceptible de provoquer l'apparition de mutations génétiques) ou toxique pour la reproduction. Cela vaut en cas de démission, de départ en retraite, etc.

Ce suivi médical est pris en charge :

  • par l'établissement au sein duquel l'agent a été exposé,
  • ou, lorsque cet établissement ne peut pas être identifié, par l'établissement dont relève l'agent au moment de la cessation définitive de ses fonctions.

L‘agent est informé de son droit par l'administration au moment où il cesse définitivement ses fonctions. L'administration lui délivre à cet effet une attestation d'exposition à un risque cancérogène, mutagène et toxique pour la reproduction établie, après avis du médecin du travail.

Le suivi post-professionnel peut être assuré, au choix de l'agent :

  • par tout médecin choisi librement,
  • dans le cadre d'une consultation hospitalière.

Pour en savoir plus

Restez connecté(e)

Restez informé, inscrivez-vous à notre lettre d’information, je m’inscris !

Gabriel Marly

Adjoint à l’aménagement du territoire, urbanisme, logement

Un plan logements pour garder les enfants au pays

À Lège-Cap Ferret, comme dans de nombreuses communes du littoral aquitain, les prix du fonciers s’envolent. Or, pour appliquer sa politique volontariste en matière de logements, la municipalité doit rester maîtresse de son foncier. C’est pourquoi nous acquérons des parcelles stratégiques, dès que nous le pouvons

Blandine Caulier

Adjointe à la vie scolaire et à la jeunesse

Nous créons la Maison des ados qui manquait à la Presqu’île

Nous veillons chaque jour à l’épanouissement et au bien être des enfants, en investissant dans nos 4 écoles et en créant de nouvelles structures, comme l’accueil périscolaire de Lège ou la future Maison des Jeunes.

Marie Delmas Guiraut

Adjointe aux affaires sociales et solidarité, petite enfance

Plus que jamais aux côtés des plus fragiles

Les crises à répétition qui ont marqué ce début de mandat ont aussi renforcé notre engagement. La municipalité, à travers le CCAS, a accentué son soutien envers les plus fragiles : nous avons distribué davantage d’aides à plus de bénéficiaires que prévus, toutes générations confondues. Nous avons également veillé à entretenir et resserrer le lien social.

Philippe de Gonneville

Maire de Lège-Cap Ferret

Diminuer le trafic, c’est possible et nous nous y employons

La Presqu’ île est régulièrement bloquée par le trafic routier en saison. L’été, ce ne sont pas moins de 22 500 véhicules jour qui entrent sur la commune. Si nous diminuons de 15 à 20 % ce flot, le trafic restera dense, mais plus fluide. Avant d’envisager une limitation de l’accès à notre commune, il existe des solutions pour la désengorger. C’est la raison pour laquelle, depuis trois ans, nous avons engagé un travail de fond, en lançant une étude locale des mobilités, en renforçant les voies vertes et les liaisons douces entre les villages et en travaillant main dans la main avec la COBAN sur un futur réseau de transport en commun qui, dès 2024, proposera une alternative au tout voiture, toute l’année.

Laëtitia Guignard

1re Adjointe aux finances, à l’administration générale, à la démocratie participative et à la vie économique.

De nouveaux services devenus incontournables

Dans un contexte social et économique tendu, nous continuons d’assurer au quotidien un service public de haute qualité, accessible et proche des habitants. Nous avons créé une série de nouveaux services qui aident nos concitoyens dans leurs démarches administratives et facilitent leur vie quotidienne.

Evelyne Dupuy

Adjointe à la sécurité et au domaine public

Plus d’hommes et plus de moyens pour votre sécurité et votre tranquillité

La sécurité est la première des libertés. Nous avons renforcé l’ensemble des moyens humains et matériels alloués à la police municipale, pour lui permettre d’être encore plus présente sur le terrain, toute l’année. Au quotidien, nous agissons pour apaiser les vitesses et les conflits entre citoyens.

Luc Arsonneaud

Conseiller municipal délégué aux  risques naturels majeurs

Innover pour mieux protéger

En réponse aux incendies de l’été 2022, nous avons mis en place des mesures concrètes et inédites, avec les acteurs publics et les riverains, pour mieux prévenir le risque, alerter la population, faciliter le travail des secours et anticiper une éventuelle évacuation.

Alain Pinchedez

Adjoint aux sports, à la vie associative et aux personnes porteuses de handicap

Soutenir les associations coûte que coûte

Les clubs et associations sont les piliers de notre vie locale, ils irriguent toutes les générations et tous les villages. Nous les soutenons humainement, matériellement et financièrement, pour leurs grands projets et leur quotidien. Nous avons aussi œuvré pour renforcer les échanges entre bénévoles

Alain Bordeloup

Adjoint aux affaires culturelles et aux animations

Rassembler les générations autour de la culture et de la convivialité

La culture et les animations rassemblent nos concitoyens, au-delà de leur âge ou de leurs sensibilités. Notre priorité est d’assurer l’accès à une culture de qualité pour tous, à travers nos grands événements, nos temps forts et nos enseignements artistiques et de proposer des temps de convivialité toute l’année.

Catherine Guillerm

Adjointe à l’environnement, Développement Durable, agenda 21

L’environnement est au coeur de toutes nos actions

Nous vivons sur un territoire aussi exceptionnel que fragile. La Ville intègre systématiquement les préoccupations environnementales et paysagères dans ses décisions. Nous privilégions la sobriété, la qualité et l’authenticité dans nos choix d’aménagements, de plantations ou de gestion des espaces naturels.

Thierry Sanz

Adjoint délégué aux travaux et services techniques, VRD et bâtiments

Le mot d’ordre du Maire « stop goudron » est appliqué à la lettre.

Nous avons testé différents revêtements perméables et innovants, pour les trottoirs, les voies vertes, et les stationnements, au cœur des différents villages.

Jean Castaignède

Conseiller municipal à l’ostréiculture et aux affaires maritimes

Mobiliser nos partenaires pour nettoyer l’Estran

Le nettoyage des friches ostréicoles sur tout l’Estran et le recyclage des épaves étaient très attendus. Nous travaillons main dans la main avec les professionnels de la mer et l’État, pour que l’Estran reste un espace partagé, préservé et apaisé.

Nathalie Heitz

Conseillère municipale déléguée aux marchés

Le commerce de proximité, un trésor à préserver

En période de crise sanitaire puis de tension économique, les marchés municipaux doivent rester des lieux d’achat et de rencontre. Avec des périodes d’ouverture élargies et des investissements matériels, nous préservons comme un trésor cette économie de proximité qui dynamise nos villages.

Véronique Germain

Conseillère municipale déléguée au tourisme

Notre objectif : l’aménagement durable de la station

Le tourisme fait partie de l’ADN de notre commune. Pour le conserver et évoluer sereinement face aux nouveaux enjeux soulevés par l’hyper attractivité de la Presqu’ île en saison, nous veillons à réconcilier les visiteurs et les habitants, et nous imaginons la station de 2040 : une presqu’île accueillante, préservée et ouverte, sous réserve que l’on respecte son authenticité.

Laetitia Guignard

1ère adjointe aux finances, à l’administration générale, à la démocratie participative et à la vie économique

Nous avons initié une nouvelle relation entre élus et citoyens

La Ville a initié une politique inédite de démocratie participative pour ajuster les politiques publiques au plus près des citoyens, transformer et fortifier le lien social, mais aussi renouveler la démocratie. Nous travaillons avec les citoyens sur différentes échelles de projets et de territoire, pour enrichir nos décisions et mieux partager l’action publique.